Gardez le regard éveillé, soyez attentifs à ce qui vous entoure.
Ayez un regard doux pour calmer toute agressivité intérieure.
Tout est dans l'intention.
Le regard précède le mouvement.
Le mouvement naît du précédent, de là vient la fluidité.
Terminer complètement un mouvement avant d'en commencer un autre.
Mettez du poids dans vos appuis.
Dans les passages à l'équilibre, songez à garder un pied vide, un pied plein.
Penser "cercle".
Baisser les épaules: les bras montent tout seuls.
Utilisez au minimum la force musculaire, relâchez-vous.
Ne collez pas les bras au corps, imaginez des balles de tennis sous les bras.
Relacher les épaules.
Mettez du poids dans les coudes, ils ne doivent pas monter.
Lors de l'ouverture des bras les coudes entrainent les côtes et participent à l'ouverture de la cage thoracique.
La main est reliée au pied, la cheville au poignet, le genou au coude, la hanche à l'épaule.
Coller la langue au palais.
Inspirer et expirer par le nez.
Conservez l'alignement tête, buste, bassin pour relier le ciel à la terre.
Mettez de la lumière entre les vertèbres.
Détendez-vous, ça va aller...
Mais non, Pascale, tu l'avais jamais dit !
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